À l’intersection de l’économie et de la culture, les entreprises culturelles agissent sur les cerveaux et y trouvent leurs intérêts. Elles reçoivent diversement leurs responsabilités quant aux impacts négatifs de leurs activités. La RSE (responsabilité sociale d’entreprise), représente un levier d’action important mais reste trop peu utilisée en particulier dans la culture.

Les bilans locaux ou globaux disent la même chose : les politiques culturelles s’essoufflent, peinent à se démocratiser et à entamer leur bifurcation environnementale, sociale et sociétale. Face à la concentration de ces entreprises, l’État doit prendre ses responsabilités.

Comment ces entreprises agissent-elles pour le bien commun ? Comment préparent-elles l’avenir pour favoriser la transition écologique et scientifique, l’évolution des imaginaires et des idées ; d’une manière plus inclusive et plus exigeante ? Comment favoriser la liberté de pensée et la qualité de l’information ?

À travers une discussion que l’on devine passionnante, Pascale Thumerelle et Rémi Lefebvre nous donnerons à penser les fonctions des politiques culturelles, de leurs industries et des rôles qu’elles doivent prendre et assumer.

En partenariat avec les éditions Actes Sud

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